La 4e de couverture indique : "Avec 2,5 millions de téraoctets de données produites quotidiennement dans le monde, quelle position adopter face à ce tsunami de data ? Voulons-nous dompter la vague ou nous y noyer ? Arrêtons d'écouter les data évangélistes gorgés de certitudes.
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Il y a urgence à sortir des idées convenues : à défaut, le citoyen et le consommateur pourraient n'avoir d'autre alternative que de choisir entre des data opaques toutes-puissantes et des croyances fondées sur les seules émotions. Cette question complexe et polymorphe, l'auteur a pris le parti de la traiter globalement dans sa dimension éthique. Se pencher sur la déontologie des data, c'est en effet les sauver d'elles-mêmes et de leurs dérives. Quelles sont les obligations en cette matière ? En l'absence de textes réglementaires spécifiques, la jurisprudence tend à exiger que les données diffusées par les entreprises soient - à l'instar de leurs chiffres financiers - exactes, précises et sincères. Les entreprises et les administrations négligentes s'exposent à des risques de réputation ou de poursuites judiciaires. La prévention de ces risques impose à toute organisation de contrôler la production, l'archivage et la communication des données qu'elle traite. Ce livre est tout à la fois une alerte, un questionnement et le début d'une solution par la création d'une nouvelle discipline, la « datadéontologie », et d'un nouveau métier, le « datadéontologue », dont le présent manuel passe en revue le cahier des charges. Pour éviter que le big data ne tourne au bug data !"