La 4e de couverture indique : "Journal intime d'une artiste prodige, "Moi ce que j'aime, c'est les monstres" est un kaléidoscope brillant d'énergie magnifiquement contée d'une fascinante enfant au coeur du Chicago en ébullition des années 1960.
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Dans cette oeuvre magistrale, tout à la fois enquête, drame familial et témoignage historique, Emil Ferris tisse un lien infiniment personnel entre un expressionnisme féroce, les hachures d'un crumb et l'univers de Maurice Snedak."